PIXEL

My Journey Around The World

Direction artiste et chorégraphique :

Mourad Merzouki

création numérique : Adrien Mondot et Claire Bardainne


Le pixel c’est une unité de base pour mesurer une image.

 

Le Hip hop, c’est un  style de vie, de danse, de musique…

 

Et quand les deux se rencontre, c’est un véritable coup de foudre, c’est juste magique.

 

Les danseurs (11 au total, dont juste deux femmes) évoluent en total symbiose avec le décor numérique.

 

Nous offrant tour à tour des tableaux vertigineux.

 

Le concept de décors numérique donne un effet trois dimensions qui est en plus accentué par un simple rideau transparent qui donne de la profondeur.

 

On se croit parfois à la féérie des eaux, ou dans une boule à neige qui va être submergée par une tempête, d’autre fois on a l’impression d’être directement dans la galaxie, un même parfois happer par une carte mère.

 

On assiste à des chorégraphies, individuelle et collective, qui font ressentir la belle unité de la troupe, un tableau tel une parade nuptiale nous laisse rêveur, un autre avec une grande roue nous emporte et le tout toujours souligner par accompagnement numérique. Les patins à roulettes semblent être des patins à glace et les planches de skate semblent être des planches de surf.

 

De merveilleuses bougies téléguidés se promènent et éclairent parfois les tableaux en leur donnant un autre relief.     

 

On ne sait plus comment les danseurs évoluent dans ce délicieux tourbillon, s’ils dansent, marchent, courent ou volent…c’est magique et on se laisse porter.

 

D’un revers de main, ou du corps, ils balancent le décor, mais celui-ci revient, joue, les encercle et les dévore… parfois l’un d’eux se retrouve à l’extérieur du cercle virtuel comme un message de tolérance. C’est un duel entre Pixels et danseurs, ou un échange amoureux…

 

Tout l’espace n’est qu’illusion. On est dans un simulateur de rêves et de poésie, et le sol se dérobe sous nos pieds soudain légers.

 

Vu eu théâtre du Blanc -mesnils le 29 / 04 /2017

 


Écrire commentaire

Commentaires: 0