Yohann Metay

La tragédie du dossard 512

Même si l'on est ni coureur ni sportif, on peut se reconnaitre dans ce que le dépassement de soi  à de fédérateur quelque soit la motivation originelle. Durant 1h30 on la fait, on la vit cette course avec lui, on parlerait presque aussi aux marmottes mais surtout on veut être Finisher et arborer le beau sweet  du vainqueur, de celui qui à su, tout donner, pour se dépasser. un seul en scène dynamique et drôle, sincère et efficace .