Le journal d'une femme de chambre

Un coup de cœur de ce festival d’Avignon 2018.

Une interprétation hors norme, avec toute ses tripes mais aussi sa sensibilité et sa sensualité, dans une mise en scène justement dépouillée pour lui laisser toute la lumière, la comédienne nous tient suspendu à son histoire.

A le fin du 19ème siècle, Célestine est femme de chambre et elle égraine ses souvenirs , certains plus douloureux que d'autres. C'est quelle en a fait des places Célestine et eu biens des histoires, avec humour mais clairvoyance elle nous compte cette esclavage moderne qui est celui des gens de maison.
C 'est à travers le trou de la serrure,  que l'auteur Octave Mirbeau à choisit de nous montrer le coté sombre des honnêtes de gens de l’époque et la condition domestique surtout féminine.

Une belle œuvre superbement incarnée par Karine Ventalon. bravo